Entre deux chansons, il racontera ces petites anecdotes et grandes histoires qui en disent long sur la vie et l'oeuvre du Sétois.
Quand Simon partait en vacances avec ses parents et deux petites soeurs, ce sont les cassettes de Renaud, Maxime Le Forestier, Jean Ferrat ou Georges Brassens qu'on écoutait en famille dans la voiture. C'est comme ça que Simon a appris à aimer la chanson française. A ses vingt-cinq ans, quand il écoute avec une oreille plus attentive l'Auvergnat, Le Fossoyeur, le Parapluie, Saturne, l'Orage et les Oiseaux de passage, il réalise que Brassens est le plus grand. Au fil des années, l’artiste est devenu pour lui un copain qui vous accompagne au quotidien par son humour, ses réflexions sur la vie et sa poésie.
Les mots et la musique sont présents chaque jour dans la vie du Lillois de 34 ans. A la guitare ou à l'orgue de barbarie, il aime chanter les textes merveilleux de la chanson française. Ses scènes sont variées : les cafés, la rue, les salles de spectacle ou les colonies de vacances qui sont l'occasion d'apprendre aux enfants Santiano, Laisse béton ou Le Petit cheval. Journaliste dans la presse écrite, il chronique régulièrement les sorties d'album et a déjà interviewé Hugues Aufray, Jean-Louis Aubert ou encore Bénabar.
Il y a trois ans, il acquiert un orgue de barbarie, instrument de musique merveilleux source de fraternité, une valeur chère à Georges Brassens.
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